L’histoire se déroule dans un cimetière.
 
Il y a la femme, la maîtresse, et lui. Enfin on ne sait pas vraiment s’il y a lui... Parce qu’il est mort. Mais même mort, il est là, dans la tombe, mais pas seulement. Parce qu’il se serait réincarné. Et il serait là.
 
Alors l’heure est aux règlements de comptes. Et tout va dégénérer, comme si tous les éléments s’étaient rassemblés pour former un cyclone aussi inattendu que dévastateur.
 
Avis de tempête verbale ! Tout va y passer dans un désordre déjanté et surréaliste.
 
Les Pleureuses tiennent salon sur la tombe du défunt, laissant libre cours à des divagations immorales et hors de contrôle... THÉÂTRE
VENDREDI 17 MAI, À 20H30 POUR PLUS D’INFORMATIONS, VISITEZ LE SITE OFFICIEL DE LA CIE AL FONCE “Le contact fréquent avec des auteurs reconnus dans le domaine (François Rollin, Gérald Sibleyras) a stimulé mon envie latente d'écriture de comédie, tout en révélant la complexité du processus en question. La personnalité des comédiennes , avec lesquelles je travaille depuis de nombreuses années, a été le moteur de cette phase de travail.

La part belle est faite au jeu des comédiennes et aux situations décalées. Quiconque s'étant déjà confronté aux problématiques du spectacle de comédie, connaît les exigences extrêmement particulières du genre. Le jeu doit répondre à des demandes spécifiques, telles que la réactivité, la maîtrise des changements de rythme, des ruptures, l'extrême précision systématique...

De notre point de vue, il est peut-être plus ambitieux de vouloir donner à rire que de s'exprimer sous une autre forme. Le chemin qui mène (peut-être ?) à ce rire n'en est que plus prenant, difficile et excitant.”
PIERRE-LOUIS LANIER